Journal d'une boulimique.

Enervement.

Mais ce qui m’énerve aussi, ce qui m’exaspère au plus haut point, c’est qu’avant de rencontrer ce crétin, pour la première fois de ma vie je me sentais bien toute seule : je ne vomissais que rarement, ma consommation d’alcool avait descendu en chute libre et j’étais heureuse.

Pour la première fois de ma vie, je ne ressentais pas le besoin de combler un vide avec un homme. Et maintenant, tout est à refaire. Tout est à reconstruire. Et pour ça, je le déteste.