Journal d'une boulimique.

Cercle des poètes disparus.

Souvent je baise bourré, uniquement pour retrouver l’ivresse amoureuse. Si le coeur ne bat pas, il faut au moins avoir la tête qui tourne. Frederic Beigbeder

La solitude. Poison lent et sournois qui depuis toujours nuit à ma tranquillité. S’il ne finit pas par m’achever, il me rendra folle.

Que s’enlève ce poids qui me pèse, qui m’étouffe et qui m’empêche de vivre pleinement. Que se retire l’angoisse qui me soulève le coeur. Que vienne enfin le bonheur, la paix.