Journal d'une boulimique.

Il me manque. C'est atroce, il me manque tellement. C'est pas par vagues, c'est constant. Tout le temps, sans répit.

Moi je préfère mourir que mourir de vivre sans toi.

Je me noie dans tous nos souvenirs qui m’entraînent toujours plus bas.

Je bois à cet avenir qui avant n’existait pas.

On a fait qu’un sans y réfléchir et je reste seul sans moi.